NOTRE HISTOIRE
Construit en 1925, le bâtiment n’a révélé son nom « The EGG » qu’au 21ième siècle. Mais quelle est l’origine de ce nom intriguant ? Les racines audacieuses de son appellation dévoilent tout…
UN PROJET EN AVANCE SUR SON TEMPS
En 2006, la CCB (Creative Club of Belgium), une association rassemblant les esprits créatifs les plus brillants des agences de publicité, avait un rêve : créer un lieu de rencontres où toutes les agences pouvaient se retrouver et se mélanger. Surnommé en interne « The EGG », ce projet était le nid de la communication, prêt à éclore.
C’est un bâtiment à l’abandon et en faillite niché dans la Rue Bara qui avait charmé Alain Heureux, entrepreneur, visionnaire et cofondateur du projet. Le potentiel que dégageait « La Brique », comme il aimait l’appeler, ne pouvait être ignoré. Ce fut le déclic. Pour lui, le projet devait vivre pleinement, à l’intérieur comme à l’extérieur.
Bien plus que de casser les silos dans le secteur de la communication, le projet avait également l’ambition de revitaliser le bâtiment dans son entièreté, développer le quartier près de la Gare du Midi et soutenir l’entreprenariat. En 2008, le projet reçoit le feu vert. Les travaux de rénovation ont pu commencer.
UN MODELE POUR LA BELGIQUE, UNE INSPIRATION POUR L’EUROPE
L’aventure de The EGG a transcendé les frontières, inspirant nos voisins. A l’époque, The EGG se positionne comme l’un des premiers incubateurs de son genre, offrant un lieu de rencontres décalé à une multitude de métiers et de cultures dans un quartier jadis négligé. Sa naissance a brisé les codes !
En 2014, une nouvelle ère a commencé pour ce lieu, marquée par un nouveau positionnement : un centre de congrès modulaire et créatif, dirigé par dside venues, sous la vision éclairée de Gilles Poot Baudier.
Depuis lors, The EGG a fièrement conservé son nom et son essence : Là où tout est à bâtir, il y a The EGG. La salle abrite toujours une pépinière de startups à l’étage supérieur et accueille au rez-de-chaussée une variété de congrès et d’événements.
